football

coupe du monde 2010

La Coupe du monde de football de 2010 est la dix-neuvième édition de la coupe du monde de football, une compétition de la Fédération internationale de football association (FIFA)
L'édition 2010 se déroulera du 11 juin au 11 juillet 2010 en Afrique du Sud,
l Afrique du sud a sélectionné le 15 mai 2004 pour organiser l'évènement. De août 2007 à novembre 2009, les sélections nationales de 203 pays participent à une phase de qualification, dans le but de désigner les 31 équipes pouvant prendre part au tournoi final en compagnie de l'Afrique du Sud, qualifiée d'office en tant que pays organisateur.

les différents groupes

les Matches

calendrier

mascotte

Stades de la Coupe du Monde de Football Afrique du Sud 2010

Le Stade Soccer City - Johannesburg

Soccer City est le stade vedette de la Coupe du Monde 2010. Ce stade est aussi connu sous le nom de FNB Stadium (First National Bank Stadium) est situé à Johannesburg dans la province du Gauteng.
Soccer City aura une capacité de 94 700 après rénovations (80 000 avant rénovations).
Construit en 1987, il a été utilisé pour des rencontres d’envergure internationales.

Son architecture est unique en son genre, il se caractérise par une enveloppe extérieure ressemblant à un pot traditionnel africain. Environ 40 % de la population de Johannesburg vit à Soweto, à côté de Soccer City. Cela promet donc beaucoup d'animation dans le périmètre du stade pendant toute la Coupe du Monde de la FIFA 2010.
C'est à Soccer City qu'a lieu la première grande apparition publique de Nelson Mandela après sa libération en 1990. Trois ans plus tard, des milliers de personnes viennent rendre un dernier hommage à Chris Hani, mort assassiné. En 1996, l'enceinte accueille la finale de la Coupe d'Afrique des Nations de la CAF, qui voit l'Afrique du Sud triompher chez elle.
Le stade se situe à quelques pas de SAFA House (South African Football Association House). Le nouveau siège de la Fédération sud-africaine de football héberge également le Comité Organisateur Local de la Coupe du Monde de la FIFA 2010,

Le Stade Ellis Park (Coca-Cola Park)- Johannesburg

L'Ellis Park Stadium est situé dans la ville de Johannesburg sur la province du Gauteng.
L'enceinte doit son nom à JD Ellis, conseiller municipal de Johannesburg, à l'origine de la construction du stade en lui réservant un terrain de plus de 5 hectares. En 2008, Coca-Cola a acquis les droits sur le nom du stade et l'enceinte s'appellera désormais Coca-Cola Park.
A l'origine, l'Ellis Park a été conçu en 1928 pour accueillir des rencontres de rugby. Démoli, puis reconstruit en 1982, le stade est resté réservé à la pratique du rugby.
Le stade a notamment accueilli plusieurs rencontres de la Coupe du Monde de Rugby de l'IRB en 1995. Mais l'Ellis Park a également servi de cadre à quelques matches de football mémorables. Les Bafana Bafana y ont tenu en échec l'Argentine (1:1) en 1995, puis la France championne du monde (0:0) en 2000, en amical.

Stade Nelson Mandela Bay - Port Elizabeth

Nelson Mandela Bay/Port Elizabeth ne dispose pas, à ce jour, de stade de football. Tous les matches internationaux accueillis par la ville, dont la rencontre du Nelson Mandela Challenge 2005 entre l'Afrique du Sud et le Sénégal, se sont disputés sur le terrain de l'équipe de rugby du Cap-Oriental.
Bien qu'aucune équipe de la ville n'évolue en Premier Soccer League, les habitants de "PE" sont friands de football. Toutes les rencontres disputées dans la ville attirent des foules de spectateurs.
La Coupe du Monde la FIFA 2010 offre à Nelson Mandela Bay/Port Elizabeth une occasion unique de construire un stade consacré au football et de miser sur la passion pour le ballon rond affichée par ses habitants. Dans un environnement paradisiaque, le stade surplombera le North End Lake et se composera de trois tribunes et de deux étages de loges.

Stade Royal Bafokeng - Rustenburg

Le stade Royal Bafokeng de Rustenburg, l'un des sites de la Coupe du Monde de la FIFA 2010, porte le nom de la tribu indigène de la région. En 1999, les Bafokeng ont remporté une bataille juridique leur accordant 20 % du platine extrait du sous-sol de leur terre. Depuis, ils possèdent des actions dans l'exploitation de platine de la région et sont devenus la tribu la plus riche d'Afrique.
En 2001, le stade a accueilli la sélection sud-africaine et le Burkina Faso (2:1) à l'occasion d'un match de la compétition préliminaire pour la Coupe du Monde de la FIFA. Il a également été le théâtre de nombreux matches de Premier Soccer League, ce bien que la ville de Rustenburg n'ait aucune équipe évoluant en première division.
Le stade n'est qu'à 25 minutes de route de Sun City, à 30 minutes du Pilanesberg et à 12 kilomètres du centre de Rustenburg. Une fois modernisé, il comptera 42 000 places.

Stade Green Point - Le Cap

Le Cap construit actuellement un nouveau stade pour la Coupe du Monde de la FIFA 2010. Il se situera à Greenpoint (banlieue du Cap), qui a donné son nom au stade. Durant les phases péparatoires a la construction de ce stade, il a été communément appelé African Renaissance Stadium. Cette appelation est toujours utilisée par certains.
Ce stade bénéficie d'une location extraordinaire (jugez-en par vous-même avec les photos ci-dessous). Les supporters seront en effet à deux pas de l'océan et ils auront pour toile de fond les montagnes du Cap : situation idéale, d'autant que le réseau de transports en commun sera immédiatement accessible aux spectateurs. La nouvelle enceinte se dressera en partie sur une zone aujourd'hui occupée par un parcours de golf.
Prévu pour être livré en 2009, Greenpoint stadium offrira une capacité de 70 000 places.
Le Cap dispose d'un autre stade aux normes internationales, Newlands, qui est principalement utilisé pour le rugby, même s'il a accueilli Tottenham en 2003 lors de sa tournée en Afrique du Sud. La Coupe du Monde de la FIFA, Afrique du Sud 2010 a offert à la ville du Cap l'opportunité de construire un stade international qui accueillira divers évènements de tous styles après Afrique du Sud 2010.

Stade Mbombela - Nelspruit

Le stade Mbombela sera construit spécialement pour la Coupe du Monde de la FIFA 2010. Cette enceinte devrait satisfaire tous les passionnés de football de Nelspruit et représente un bénéfice à long terme pour tous les habitants de Mpumalanga. A l'heure actuelle, il n'existe aucun stade répondant aux normes internationales en vigueur dans la province de Mpumalanga.
Mbombela tire son nom de la municipalité locale, qui comprend la ville de Nelspruit. Mbombela signifie en SiSwati "beaucoup de gens dans peu d'espace".
Le stade aura la forme d'un rectangle aux bords arrondis, ce qui devrait permettre à tous les spectateurs d'avoir une excellente vue d'ensemble du terrain.
L'enceinte sera située à environ sept kilomètres du centre-ville et 12 kilomètres de l'aéroport de Kruger-Mpumalanga. Le terrain se trouvera également à proximité de nombreux parcs d'attraction, ce qui offrira aux spectateurs l'opportunité de découvrir la faune locale lors des jours de repos.

Stade Peter Mokaba - Polokwane

En vue de la Coupe du Monde de la FIFA 2010, la ville de Polokwane prévoit la construction d'un nouveau stade dans le complexe sportif Peter Mokaba. A cinq kilomètres du centre ville, le stade disposera de 45 000 places.
La nouvelle enceinte est attendue avec impatience par les footballeurs licenciés du Limpopo, plus nombreux que dans n'importe quelle autre province.
Le complexe sportif porte le nom de Peter Mokaba, militant actif du mouvement anti-apartheid. Né et élevé à Polokwane, Mokaba est devenu un leader charismatique réputé pour sa combativité.

Stade Loftus Versfeld - Tshwane/Pretoria

Situé au cœur de la capitale, le Loftus Versfeld affiche aujourd'hui une capacité de 45 000 places. Très peu de travaux sont nécessaires pour qu'il réponde aux standards exigés pour la Coupe du Monde de la FIFA 2010, si bien qu'il accueillera dès 2009 la Coupe des Confédérations de la FIFA.
C'est en 1903 que le site du stade Loftus Versfeld a pour la première fois été utilisé pour des événements sportifs. Il a ensuite pris le nom de M. Robert Owen Loftus Versfeld, principal instigateur de la structuration des activités sportives de la ville de Pretoria. Ce site a été le théâtre de nombreuses compétitions, dont la Coupe du Monde de Rugby 1995 et la Coupe d'Afrique des Nations de la CAF 1996. Aujourd'hui, il héberge les Mamelodi Sundowns.
Stade Free State - Mangaung / Bloemfontein

Bloemfontein recevra les équipes au Free State Stadium, qui peut actuellement accueillir 38 000 spectateurs assis. Le stade tire son nom de celui de sa province.
Le stade a accueilli des matches de la Coupe d'Afrique des Nations en 1996 (groupes et quarts de finale) et de la Coupe du Monde de rugby en 1995. Il est également utilisé par une équipe de Premier Soccer League, les Bloemfontein Celtics.
Le stade va subir d'importantes transformations qui, une fois achevées, lui conféreront une capacité de 48 000 places.

Stade King Senzangakhona - Durban

Durban a une longue histoire footballistique. Le premier championnat sud-africain a vu le jour dans la province du KwaZulu-Natal.
Le stade King Senzangakhona doit son nom a un roi Zoulou, qui fut l’un des acteurs de l'histoire des Zulu.
Le plus grand match jamais joué dans la ville est celui qui a opposé en 2002 l'Afrique du Sud à une Angleterre au grand complet. Durban a également accueilli la première rencontre de l'ère post-apartheid. Ce jour-là, les Bafana Bafana ont battu le Cameroun 1-0 à King's Park. La ville a également organisé des matches de groupe, de quart et de demi-finale à l'occasion de la Coupe d'Afrique des Nations organisée par l'Afrique du Sud en 1996. A cette occasion, la Tunisie s'est qualifiée pour la finale en battant le Cameroun 4:2.
Le nouveau stade de Durban sera construit sur le site de l'ancien King's Park. Il pourra recevoir des matches de niveau mondial, avec une capacité de 70 000 places assises. Il sera surplombé par deux grandes arches qui s'élèveront à 100 mètres au-dessus de son toit.

Déception en Algérie après la défaite

La défaite de l'Algérie dimanche face à la
Slovénie (0:1), lors du premier match des Fennecs en Coupe du
Monde de la FIFA (Groupe C), a provoqué une grande déception dans le
pays, les rues d'Alger restant pratiquement désertes après la rencontre.
"L'équipe peut voir des regrets. Il y avait de
la place pour une victoire", se lamentait le commentateur de la radio
publique francophone chaîne III Maâmar Djebour, qui met en cause les
choix du sélectionneur Rabah Saâdane.
Le
match s'est "joué sur deux erreurs : l'entrée d'Abdelkader Ghezzal (à la
place de Rafik Djebbour), qui n'était pas bon à l'entraînement. On ne
comprend pas ce choix. Et la bévue de Chaouchi qui a été fatale", a-t-il
ajouté.
L'Algérie a encaissé l'unique
but de la partie sur une terrible erreur du gardien Faouzi Chaouchi,
laissant filer une frappe anodine du capitaine de l'équipe de Slovénie,
Robert Koren.
"Dommage ! On aurait pu
mener à la marque à plusieurs reprises et gagner facilement ce match par
2 à 0. Mais les joueurs n'ont pas osé", constatait de son côté, Omar 35
ans, un fan des Verts, habitant à Tizi Ouzou, en Kabylie (110 km à
l'est d'Alger).
"Saâdane assume une
grande part de responsabilité dans cette défaite. Il a adopté un schéma
tactique trop défensif", estimait-il.
A
la fin de la partie, les Algérois, qui s'étaient préparés depuis
plusieurs jours à fêter la première victoire des Verts dans ce Mondial,
sont sortis de chez eux en silence, arborant une mine sombre.
Les principales avenues de la capitale sont
restées quasiment vides, la plupart des magasins ayant fermé pour le
match tandis que plusieurs sociétés privées avaient donné congé à leur
personnel à cette occasion.

Abidal : "Se lâcher pour un déclic"

Eric Abidal, heureux que la défense des
Bleus n'ait pas encaissé de but pour son entrée au Mondial, a préconisé
de "se lâcher" pour un "déclic" face aux Mexique, jeudi, pour le
deuxième match du groupe A de l'équipe de France, restée muette contre
l'Uruguay (0-0).
La défense enfin
inviolée
Après avoir encaissé un but à chaque match de
préparation, les Bleus sont enfin restés hermétiques face à l'Uruguay de
Forlan. "Le discours entre nous, c'est "on ne prend pas de but et après
on aura toujours une 'occase' pour en mettre un après". Et le message
est bien passé", relate "Abi".
Les
joueurs ont-ils plaidé pour le retour à l'ancien système, en 4-2-3-1,
plus sécurisant avec deux milieux récupérateurs que le 4-3-3 de la
préparation ?
"Non ça reste un choix
d'entraîneur", répond l'ancien Lyonnais, qui parle d'ailleurs d'un
"4-4-2 quand on défend" et d'un "4-2-3-1 quand on attaque". "On a
défendu tous ensemble, peut-être était-ce dû à l'importance du match, et
les choses se sont emboîtées les unes dans les autres, on a été
costaud".
"Le 4-3-3, on ne connaissait
pas. Il y a eu l'euphorie du changement de système contre le Costa Rica
(premier match de préparation, victoire 2-1), puis il y a eu la Tunisie,
où on n'a pas gagné mais pas perdu non plus (1-1) et puis il y a eu le
match contre la Chine (défaite 1 à 0) qui a peut-être servi de déclic au
sélectionneur pour changer de système", relate le défenseur, qui a
appris le retour du 4-2-3-1 "lors de la causerie d'avant-match
vendredi".
Sur un plan individuel, "Abi" a
fait taire les critiques. En préparation, il avait gardé ses réflexes
de latéral gauche, poste qu'il occupe au FC Barcelone alors qu'il joue
en défense centrale avec les Bleus. Contre l'Uruguay, les réglages
étaient faits. "J'accepte les critiques. L'important est d'être prêt le
jour J, avant on se prépare", a-t-il commenté.
Se lâcher et marquer
"Un but nous aurait
délivré", admet Abidal. "Maintenant, contre le Mexique, on doit jouer
pour une victoire et pas autre chose", lance-t-il, trouvant les
"Mexicains potentiellement plus forts que les Uruguayens".
Le défenseur axial trouve "rassurant" que les
attaquants aient eu des occasions. Et il botte en touche quand il est
interrogé sur l'étrange manque de relation technique entre Anelka et
Gourcuff: "Il n'y pas que "Yo" (Gourcuff) qui doit donner à "Nico"
(Anelka). Et puis si on commence à faire des polémiques comme en 2006
quand on disait que Zizou ne trouvait pas "Titi" (Henry)... On ne
regarde pas trop ça (les polémiques, ndlr)".
"Il faut pouvoir se lâcher et passer ce tour", préconise-t-il. Les
Bleus ont-ils joué avec le frein à main contre l'Uruguay ? "Non, je dis
"se lâcher" dans le sens d'un déclic. En 2006 c'était déjà comme ça, on
avait commencé avec un nul (0-0 contre la Suisse). Et au fur et à
mesure, les victoires entraînent des victoires. Il nous manque ce petit
détail, le haut niveau se joue sur des détails. On va essayer de le
faire, car l'étau va se resserrer contre le Mexique".
Et Abidal a confiance dans la profondeur du
banc français: "On a des attaquants de haut niveau, de très haut niveau
sur le banc (il pense notamment à Thierry Henry, 122 sélections, 51
buts), et ça c'est inquiétant pour nos adversaires".
résumé complet sur fifa.com spécial coupe du monde

l'équipe de France
football Equipe-de-france

portrait de l'équipe de France

C’est une première pour l’équipe de France :
Afrique du Sud 2010 constitue sa quatrième phase finale de Coupe du
Monde de la FIFA consécutive. Jamais dans leur histoire les Bleus
n’avaient fait preuve d’une telle régularité. Considérée comme une
sélection de bon niveau grâce ses performances dans l’épreuve reine
depuis 1930 et quelques joueurs de légende, la France a définitivement
changé de statut à la fin des années 90 pour rejoindre le cercle fermé
des "grandes équipes", qui entament les compétitions sans autre objectif
que de les gagner.
La génération des
Zinédine Zidane, Laurent Blanc, Didier Deschamps et autres Fabien
Barthez a su passer l’obstacle qui avait empêché la précédente de
toucher au Graal. Michel Platini, Alain Giresse et autres Luis Fernandez
ou Jean Tigana s’étaient arrêtés en demi-finale en 1982 et 1986, leurs
successeurs ont atteint la dernière marche et soulevé le trophée suprême
en 1998. Malgré une perte de vitesse entre 2002 et 2006, la sélection
tricolore est passée tout près d’une deuxième étoile en 2006, mais les
tirs au but et l’Italie en ont décidé autrement.
Orpheline de Zidane depuis ce soir de juillet 2006, la France
compte pourtant toujours parmi les grands noms du football mondial,
grâce à l’éclosion perpétuelle de talents qui font les beaux jours des
plus grands clubs. Franck Ribéry, Karim Benzema ou Yoann Gourcuff n’en
sont que quelques exemples.
En
route vers l'Afrique du SudPeu importe le
flacon, pourvu qu’on ait l’ivresse. C’est ce qu’ont dû se dire joueurs
et supporters français au soir de la qualification, obtenue dans les
dernières minutes de la prolongation du barrage retour contre la
République d’Irlande (0:1, 1:1 a.p.). S’ils en sont arrivés à cette
conclusion dramatique, c’est que les Bleus ont peiné durant
tout leur parcours dans le Groupe 7 des qualifications européennes.
Devancés par la Serbie, accrochés par la Roumanie, gênés par la
Lituanie, les Tricolores ont traîné comme une boulet la défaite
subie en ouverture en Autriche (1:3). C’est dos au mur que les joueurs
de Raymond Domenech se sont repris en main, arrachant un nul en Serbie
alors qu’ils étaient réduits à dix et menés au score (1:1), puis en
s’imposant facilement contre les Îles Féroé (5:0) et l’Autriche (3:1).
Ceux qui voient le verre à moitié vide retiendront la difficulté à
obtenir ce billet, ceux qui le voient à moitié plein se souviendront que
la qualification n’avait également tenu qu’à un fil en 2006. Avant
d’atteindre la finale…
Le
sélectionneurUn paradoxe à lui tout seul.
Ainsi peut être considéré Raymond Domenech auprès du public français
depuis sa prise de fonction en 2004. Loué pour ses qualités de
communication à son arrivée, ce sont ses erreurs dans ce domaine qu’on
lui reproche au lendemain d’un UEFA EURO 2008 catastrophique. Malgré un
palmarès vierge, il possèdera pourtant rapidement la plus grande
longévité de l’histoire de la sélection, avec une finale de Coupe du
Monde comme point d’orgue d’une carrière qui l’a vu régulièrement monter
en grade. Après Mulhouse et Lyon, il entre dans l’encadrement des
sélections tricolores, commençant par les U-20, enchaînant avec les
Espoirs, pour finir avec les A. De sa carrière de joueur, un défenseur
rugeux, on retiendra deux titres de champion de France avec Strasbourg
(1979) et Bordeaux (1984), deux Coupes de France avec Lyon (1973) et le
Paris Saint-Germain (1982), ainsi que huit sélections dans les années
70.
Les joueurs
vedettesEntre 2006 et 2008, Zinédine
Zidane, Fabien Barthez, Claude Makelélé et Lilian Thuram ont fait leurs
adieux au football ou à la sélection. Du coup, de nouveaux cadres se
sont révélés. Patrick Vieira, enchaînant blessures et
méformes, c’est Thierry Henry, seul rescapé de l’épopée
98, qui a hérité du brassard. William Gallas est le
patron de la défense, tandis que Jérémy Toulalan et Lassana
Diarra sont indispensables au milieu. L’éclosion de Yoann
Gourcuff, le talent de Franck Ribéry et la
deuxième jeunesse de Nicolas Anelka multiplient les
solutions offensives pour Domenech, qui peut par ailleurs compter sur Karim
Benzema, André-Pierre Gignac, Florent
Malouda et autres Loïc Rémy.
Passé en Coupe du Monde de la FIFA12
participations, deux finales, dont une remportée. La France fait figure
d’habituée de la plus prestigieuse des compétitions. Avant sa période
dorée commencée en 1998, la France avait déjà atteint la troisième
marche du podium en 1958 et 1986, et la quatrième place en 1982.
Palmarès
- 1 Coupe du Monde de
la FIFA (1998)
- 2 Coupes des Confédérations de la FIFA (2001, 2003)
-
2 UEFA EURO (1984, 2000)

composition

voici quelque résumé en vidéo de la 1 er phase

participant Age : 68

quel pietre match equipe de france inexistante

entraineur a degager en urgence se moque du monde

joueurs trop payer

Présentation d'un terrain de foot légende et dimensions

Ici sont définis les noms et dimensions des différentes surfaces.
La largeur du terrain est comprise entre 45 et 90 mètres et la longueur entre 90 et 120 mètres.
Les dimensions des terrains professionnels sont généralement de 110x75.

Le jeu se joue sur de la pelouse plutôt rase.

Le ballon est en cuir blanc, pèse entre 410 et 450 grammes et fait entre 68 et 70 centimètres de circonférence. En cas de terrain enneigé, on remplacera le ballon classique par un de couleur vive, générale ment orange.

Les dimensions des buts sont de: 7,32 mètres de large (24 pieds)2,44 mètres de haut (8 pieds)
Les poteaux sont arrondis et font 32 centimètres de circonférence.

La barre de haut est appelée "barre transversale".

RÈGLE DE LA REMISE EN JEU

Il y a plusieurs manières de remettre le ballon en jeu, mais tout
cela dépend comment le jeu est arrêté.

EN CAS
DE
SORTIE DE BALLE

Lorsqu'un
joueur
sort le ballon en touche, c'est à dire que la ballon franchit la
ligne de touche, la balle est remise en jeu à la main derrière
la ligne de touche (1 Mètre maximum) avec ou sans élan par
un joueur adverse. (Le joueur qui remet la balle en jeu doit rester
droit
et ne pas se fléchir).
Lorsque qu'un
joueur
sort la balle derrière une ligne de largeur, il y a remise en jeu
aux 6 mètres (ceci correspond à redonner la balle au gardien
de but adverse qui le dégagera au pied à partir d'où
il le souhaite dans la surface de réparation) s'il s'agit de la
ligne du but adverse. S'il s'agit de la ligne de son propre but, il y a
corner à partir du coin le plus proche de la sortie de balle.

EN CAS DE
FAUTE

Lorsqu'il y a
une
faute sur le terrain, on donne un coup franc à l'adversaire, ce
qui lui permettra de dégager au pied le ballon d'où la faute
à été commise. Certains coups francs sont ainsi sifflé
proches des buts adverses pour que les joueurs tentent directement un
tir. Néanmoins, il se peut qu'en cas de faute, l'arbitre laisse jouer
si l'équipe dont le joueur a subi la faute garde la ballon (On laisse
l'avantage pour ne pas casser le jeu).
Lorsqu'il y a
faute
d'un défenseur (de toute sortes: coups, tacle irrégulier,
main...) dans sa surface de réparation, on siffle un pénalty
pour les adversaires sauf si la faute sifflée est un "jeu dangereux",
c'est à dire un pied levé qui n'a touché personne
mais qui aurait pu blesser quelqu'un. Dans ce dernier cas, on siffle un
coup franc dans la surface de réparation.

EN CAS DE
BUT

Lorsqu'il y a
but,
le ballon est redonné aux adversaires et est placé au milieu
du rond central où le jeu continue au coup de sifflet. Le joueur
qui remet en jeu un ballon au rond central doit commencer par une passe.
C'est également dans le rond central qu'on met la balle en jeu au
début de chaque mi-temps

LA REGLE DU BUT

Ce n'est pas bien
compliqué. Il y a but lorsque le ballon a entièrement franchi la ligne entre
les deux poteaux. La balle ne doit pas obligatoirement toucher le sol. Sachez
qu'un but fait 2 mètres 44 de haut et 7 mètres 32 de large, tandis que les
poteaux font 32 centimètres de circonférence et que les lignes mesurent 12 centimètres.

Cependant, un but peut être refusé s'il y a eu faute avant,
ou si le joueur qui a marqué était hors-jeu (des fois, les arbitres refusent un
but pour un hors-jeu de position, c'est a dire qu'au moment du but, un joueur
ne faisant pas action de jeu était hors jeu mais pas le buteur ni les passeurs,
mais officiellement, le but doit être validé).

LES PENALTIES

Les penalties font le bonheur des attaquant qui l'obtiennent mais
également
de la presse, qui ne peut s'empêcher de critiquer les penalties sifflés
par les arbitres. Les joueurs ne se gênent pas moins pour cela. Car
un penalty sifflé à environ 4 chances sur 5 de donner un
but.

Il y a penalty lorsque une faute d'un joueur est commise dans sa surface
de réparation, celle où se trouve son gardien si ce n'est
lui qui a fait la faute. N'importe quelle faute donne un penalty, que se
soit une bousculade trop vive, un tacle irrégulier, ou une main
volontaire, et surtout messieurs les arbitres, les tirages de
maillots.
Les arbitres ne sanctionnent cependant pas ces derniers car sinon il y
aurait penalty à chaque corners et coup francs dangereux tellement cette
pratique est devenue banale chez les joueurs. Les arbitres
prennent un grande responsabilité lorsqu'ils sifflent un penalty
car leur décision prend de l'effet sur le score. C'est vrai qu'il
n'est pas évident de voir si une main est volontaire ou pas, si
un joueur à été fauché ou est tombé
tout seul (voire a simulé), etc...

Lorsqu'un penalty est sifflé, alors un joueur de l'équipe
qui obtient ce penalty place le ballon sur le "point de penalty", à
11 mètres des buts, tandis que le gardien adverse se place dans ses
propres
cages. Le tireur va alors tenter de marquer sachant qu'il n'a que le
gardien
qui peut s'opposer à lui, les autres joueurs étant tous
placé derrière le tireur à 3 mètre de distance
minimum. Et ça, généralement, ça fait but.
C'est en revanche très frustrant de rater un penalty, en particulier
lorsqu'on a tiré au dessus ou à côté des buts...

*** Il n'y
a qu'une faute qui ne donne pas penalty même si elle est commise
dans la surface de réparation, il s'agit du "jeux dangereux", c'est
à dire un pied levé trop haut qui n'a touché personne
mais qui aurait été susceptible d'atteindre le visage d'un
autre joueur. Dans ce cas, il y a coup franc dans la surface de
réparation.
La différence avec le penalty est que le gardien peut placer un
mur de joueur devant lui...

D'autres
erreurs
donnent des coups franc dans la surface, comme les passe en retrait du
pied
prise par la main du gardien (interdit depuis 1992), en encore si le
gardien garde le ballon en
main trop longtemps (plus de 6 secondes selon la nouvelle règle),
dans le but de gagner du temps (lorsqu'on mène 1-0, etc...).

Sachez
qu'un
penalty peut être sifflé même si le ballon n'est pas
dans la surface de réparation. Un penalty comme cela avait fait
scandale lors d'un Nancy-Nantes en 1999-2000, match capital pour le
maintient
où un penalty avait été sifflé par suite d'une bagarre
ou le nancéen Chiba avait plus ou moins simulé sa chute alors
que le ballon se trouvait de l'autre côté du terrain.

Les techniques du
footballeur

Le dribble : le joueur tape par petits coups dans le ballon et trompe ainsi l’adversaire sur la directionqu’il va lui donner.

Le tacle: le joueur lance le pied en avant afin de prendre le ballon à un adversaire. Cette tactique est désormais passible d’une exclusion directe lorsqu’il y a " tacle " par derrière.

La bicyclette : technique très spectaculaire qui permet d’envoyer le ballon en l’air dans la direction opposée à celle de la progression du footballeur, qui décrit un renversement du corps en arrière, son dos étant presque parallèle au terrain.

Le jeu de tête : ce mode d’envoi du ballon est très pratiqué par les joueurs de foot. Le grand Pelé avait une marque sur le front à force d’avoir usé de cette technique.

résultat des diffèrent groupe

webmasteur Age : 69

Portrait de la

S U I S S E

La Suisse va participer en 2010 à sa neuvième Coupe du Monde de la FIFA. Le sélectionneur Ottmar Hitzfeld s'est fixé des objectifs élevés pour l'épreuve reine en Afrique du Sud.

C'est après la déception de l'UEFA EURO 2008 que l'ancien entraîneur du Borussia Dortmund et du Bayern Munich a repris les rênes de l'équipe nationale, qu'il a conduite à sa deuxième participation consécutive au grand rendez-vous du ballon rond : la Suisse avait déjà décroché son billet pour la Coupe du Monde de la FIFA 2006, organisée chez ses voisins allemands. Mais son chemin s'était toutefois arrêté en huitième de finale, au terme d'une séance de tirs au but perdue contre l'Ukraine.

La sélection helvète propose un savant mélange de joueurs expérimentés, à l'image des attaquants Alexander Frei et Blaise N'Kufo, et de jeunes talents comme Eren Derdiyok, Tranquillo Barnetta ou le gardien Diego Benaglio. Cette équipe prometteuse espère réitérer ses succès de 1934, 1938 et 1954, où elle avait atteint les quarts de finale.

En route vers l'Afrique du Sud
La compétition préliminaire de la Coupe du Monde de la FIFA 2010 n'a pas commencé sous les meilleurs auspices pour Hitzfeld et ses joueurs. Après un match nul en Israël, les Helvètes ont vécu à Zurich leur moment le plus difficile avec une humiliante défaite 1:2 face au Luxembourg.

Cette décevante prestation contre la sélection du Grand-Duché semble toutefois avoir agi comme un signal d'alarme, puisque l'équipe de Suisse a ensuite enchaîné cinq succès consécutifs contre la Lettonie (2:1), la Grèce (2:1 et 2:0) et la Moldavie (2:0 et 2:0). Ce n'est que son match nul en Lettonie (2:2) qui a mis fin à cette série victorieuse.

Alexander Frei et ses coéquipiers se sont adjugé la première place du Groupe 2 de la zone Europe, synonyme de qualification directe pour la phase finale, grâce à leur victoire 3:0 au Luxembourg et à leur dernier duel avec Israël à Bâle, qui s'est achevé sur un score nul et vierge.

Le sélectionneur
Ottmar Hitzfeld compte parmi les entraîneurs les plus titrés d'Europe. Il est l'un des deux techniciens à avoir réussi l'exploit de remporter la Ligue des champions de l'UEFA avec deux clubs différents, le Borussia Dortmund et le Bayern Munich.

Il a pris les commandes de la sélection helvète le 1er juillet 2008 et a réussi, malgré un démarrage difficile, à emmener celle-ci jusqu'à la qualification pour la phase finale de l'épreuve reine.

Durant sa carrière de joueur, l'ancien international allemand a joué en Suisse, sous le maillot du FC Bâle (1971/75), du FC Lugano (1978/80) et du FC Lucerne (1980/83).

Les joueurs vedettes
Alexander Frei est incontestablement le leader de la Nati. L'attaquant du FC Bâle est non seulement le meilleur buteur de l'histoire de la sélection suisse, mais aussi le capitaine de l'équipe. Durant les qualifications, il a inscrit pas moins de cinq buts.

Son coéquipier Blaise N'Kufo, qui évolue à Twente Enschede, a fait trembler les filets autant de fois. L'attaquant né à Kinshasa (RD Congo) est le partenaire de Frei à l'avant. Il fait partie de l'équipe nationale depuis 2000.

Passé en Coupe du Monde de la FIFA
La Suisse participera en Afrique du Sud à l'épreuve reine du football mondial pour la neuvième fois. En 1934, en 1938 et en 1954, les Helvètes ont atteint les quarts de finale du tournoi. En 2006, ils sont allés jusqu'en huitièmes de finale.

Entendu...
"Si mon père avait su que je connaîtrais un jour de tels succès comme entraîneur non pas du Bayern Munich ou du Borussia Dortmund, mais de la Suisse, il aurait été très heureux. Car la Suisse est notre seconde patrie." - Ottmar Hitzfeld, sélectionneur

Coupe du monde 2010

1er match mercredi 16 juin 2010

la Suisse a battu l'Espagne

La Suisse s’offre un bon coup de rouge 0 - 1

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"Nous sommes la petite équipe qui va jouer contre la grande. Nous serons les requins, nous voulons les manger." Ceux qui ont souri aux paroles de Philippe Senderos la veille de la deuxième rencontre du Groupe H entre l’Espagne et la Suisse, disputé ce mercredi à Durban, doivent s’en mordre les doigts.

Alors qu’on se demandait à quelle sauce seraient mangés les Helvètes, ce sont les grands favoris espagnols qui ont avalé de travers. Pourtant, avec un Andrés Iniesta finalement titulaire, la Roja avait faim d'entrée de jeu et s’offrait quelques quelques frappes dangereuses en amuse-gueule : un missile de Sergio Ramos hors cadre (17’), une tentative d’Iniesta bloquée par Diego Benaglio (21’) et une ouverture millimétrée du Catalan pour son coéquipier Gérard Piqué, qui crochetait Stéphane Grichting avant d'échouer devant le gardien suisse (24’).

Les Ibères étaient tout près de savourer leur premier mets de la soirée lorsque David Silva adressait un caviar à Iniesta en profondeur, mais Grichting faisait tourner l’affaire au vinaigre, récoltant une biscotte sur le coup. Pour ne rien arranger, la Suisse perdait Senderos sur blessure. Ça sentait le roussi dans la cuisine d’Ottmar Hitzfled, mais à la pause, la Suisse pouvait se vanter de rester sur 439 minutes d’invincibilité en Coupe du Monde de la FIFA.

Derdiyok manque le dessert
Au retour des vestiaires, Xabi Alonso apportait le plat de résistance en frappant de loin à deux reprises en cinq minutes, mais d’abord dans les nuages, puis sur le crâne de Grichting. A attendre trop longtemps avant de se servir, l’Espagne laissait la voie libre aux pique-assiettes, en l’occurrence Eren Derdiyok et Gelson Fernandes. Le premier échappait à la défense et butait sur Iker Casillas, à la diète jusque là, mais le second avait suivi, récupérait le ballon devant Piqué et concluait à bout portant (52’, 0:1).

Le chef espagnol Vicente Del Bosque invitait successivement Fernando Torres, Jesus Navas et Pedro à passer à table, mais la défense suisse se battait bec et ongles sur chaque miette de Jabulani. Xabi Alonso était tout près de donner enfin sa part du gâteau à la Furia Roja, mais la barre se chargeait d’allonger le jeûne des Espagnols (70’).

Navas tentait aussi sa chance, mais si la note artistique était bonne pour le sombrero sur Reto Ziegler, Benaglio brillait sur sa frappe enchaînée (72’). Dans la foulée, la Nati s’offrait une occasion en or de prendre du dessert, mais le slalom de Derdiyok dans la défense espagnole finissait sur le poteau (74’).

Malgré l’appétit d’ogre des Espagnols dans les dernières minutes et les multiples tentatives pour grignoter le point du nul, la Suisse ouvrait le champagne au coup de sifflet final. Pour les champions d’Europe en titre, il faudra digérer cette amère entrée en matière avant de dîner en tête-à-tête avec le Honduras.

-----Bravo la Suisse ------Bravo la Nati-------

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Coupe du monde 2010 - 2ème match pour la Suisse

L'équipe de Suisse, réduite à 10, s'incline 1-0 face au Chili
21 juin 2010

La Suisse descend de son nuage face au Chili

Benaglio, brillant, a finalement dû s'avouer vaincu.
La Suisse n'a pas réussi un deuxième exploit au Mondial. Les joueurs d'Ottmar Hitzfeld se sont inclinés 1-0 face au Chili. L'équipe helvétique a dû évoluer dès la 31e minute à 10 après l'expulsion sévère de Behrami.

Les jours se suivent et ne se ressemblent pas pour l'équipe de Suisse. Elle en a fait la cruelle expérience, en concédant une défaite "logique" face au Chili (1-0) dans son 2e match de la Coupe du monde. Le tournant de la partie a eu lieu à la 31e minute lorsque l'arbitre a expulsé Behrami pour une voie de fait.

A dix, les Suisses ont tenu tant bien que mal le coup, avant de craquer à la 75e. Entré en cours de jeu, Derdiyok a gâché une énorme occasion à l'ultime minute. Maigre consolation, la Suisse a battu le record de minutes sans but encaissé en Coupe du monde. Avec 559 minutes, elle passe devant l'Italie (550).
Une défaite... "rassurante"

Derdiyok (19) a eu la balle du 1-1 sur sa chaussure.
S'il est un reproche que l'on ne pourra pas faire à l'équipe d'Ottmar Hitzfeld à cette Coupe du monde, c'est bien ce lui de ne pas se battre et de ne pas laisser ses tripes sur le terrain. Partant de ce principe, le revers face au Chili est moins amer. Mais logique.

Ballottés, dépassés, mis à genoux par des Sud-Américains incroyables de vivacité et très malins au moment de se laisser tomber, les Grichting et autres Inler ne se sont inclinés "que" 1-0. Cette défaite est finalement... "rassurante" car elle aurait très bien pu se transformer en match nul si Eren Derdiyok avait cadré son tir à la 90e.
Behrami change le cours du jeu

Valon Behrami, héros malheureux de l'équipe de Suisse.
Avec un seul tir cadré durant toute la rencontre (!), la Suisse a finalement joué pour ne pas perdre. La "faute" à Valon Behrami, expulsé à la 31e par le très tatillon Saoudien Al Ghamdi, le "Lucky Luke" du carton, qui a sanctionné les coups de coude du Tessinois.

Cet événement allait contraindre Ottmar Hitzfeld, vert de rage à l'encontre de l'arbitre, à revoir son dispositif et à sortir le revenant Alex Frei, titularisé à la place d'Eren Derdiyok, pourtant brillant face à l'Espagne. La Suisse, aidée par l'incroyable Diego Benaglio devant ses buts, s'est recroquevillée avant de céder à la... 75e.
La Suisse a tout à perdre

Malgré cette défaite, tout reste ouvert pour la Suisse. Une victoire face au Honduras, vendredi, avec 2 buts d'écart la propulserait en huitièmes de finale. Mais la tâche ne s'annonce guère aisée car la Suisse n'est jamais aussi empruntée que lorsqu'elle doit prendre les initiatives. Le Honduras, qui rêvera de lui poser des peaux de bananes sur son chemin, n'a rien à gagner. La Suisse a, elle, tout à perdre.

Le Honduras n'a rien à gagner. La Suisse a elle tout à perdre. Modeste et limité en phase offensive, le Honduras jouera à 11 en défense. Les joueurs à croix blanche sont avertis. A eux de faire abstraction de la pression qui reposera sur leurs épaules... Sans quoi la victoire contre l'Espagne n'aura servi qu'à attiser les regrets.

Miguel Bao

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"A dix, le but était de tenir le 0-0 jusqu'au bout"

OTTMAR HITZFELD: Behrami n'a pas donné de coup à Vidal, qui a parfaitement joué la comédie. Ce genre de scène n'a plus rien à voir avec le football! Ensuite, à dix, le but était de tenir le 0-0 jusqu'au bout, on y est presque arrivé. Maintenant, il faut bien récupérer pour le match de vendredi. Je reste très optimiste (ndlr: une victoire 2-0 contre le Honduras qualifiera la Suisse pour les 1/8, quels que soient les résultats des autres matches de ce groupe).

MICHEL PONT: Nous sommes mal entrés dans la rencontre face à un Chili très rapide et vif. Puis dès que nous avons trouvé nos esprits, il y a eu l'expulsion de Valon Behrami. Ceci nous a déstabilisés. L'arbitre a été très pointilleux. L'expulsion est très sévère. Nous n'avons pas su gérer la nervosité correctement. Cela n'a pas joué comme nous le voulions. Le but raté d'Eren Derdiyok est à l'image de notre match. Nous avons eu les contres défavorables et les jambes lourdes. Maintenant, ce n'est pas fini. On a encore un joker. On va essayer de gagner contre le Honduras vendredi et de marquer le plus de buts possible.

RETO ZIEGLER: Ce n'était pas facile à 10 mais nous nous sommes battus. C'est notre force. Le Chili est une équipe très forte. Et puis nous avons eu une grosse occasion à la 90e. A ce niveau, ce ballon doit finir au fond des filets
"Cette défaite nous fait mal"

BLAISE NKUFO: Cette défaite nous fait très mal. L'arbitre a commis beaucoup d'erreurs mais nous n'avons pas connu un bon début de rencontre. L'expulsion n'a pas arrangé les choses... Nous nous sommes mis nous-mêmes dans cette situation. Maintenant, nous devons prendre nos responsabilités face au Honduras. Tout est encore jouable.

STEPHAN LICHTSTEINER: La déception est très grande après un carton rouge qui n'était pas vraiment justifié. En plus, il y avait hors-jeu sur le but. Un arbitre doit le voir à ce niveau. En tant que défenseur, il était à peine possible de toucher l'attaquant et il y avait tout de suite faute. C'est pénible de jouer dans ces conditions. A la fin, les forces nous ont manqué pour faire courir le ballon. Contre le Honduras, il sera important d'être meilleurs sur le plan offensif.

STEVE VON BERGEN: Nous avons défendu plus bas que contre l'Espagne. Après l'expulsion, le pauvre Nkufo s'est retrouvé tout seul devant. Nous sommes très déçus, car le carton rouge ne se justifiait pas, Valon n'a rien fait. L'arbitre n'était pas au top niveau. S'il met un rouge à Behrami, il doit aussi expulser le joueur qui m'a donné un coup au visage.

VALON BEHRAMI: J'ai dit à mes coéquipiers excusez-moi et ils m'ont dit "tu n'as pas besoin de t'excuser pour ça parce que c'est incroyable". Vidal a fait l'acteur! Sur l'action, je veux le ballon et je n'ai pas besoin de toucher l'homme. J'ai seulement senti un contact et je perds l'équilibre alors j'ai bougé avec les mains et je l'ai touché ici (il montre le cou) et lui il se touche là (il montre le visage)... De toute façon, à chaque action l'arbitre sifflait, des fois on ne savait pas pourquoi. Pour un joueur, c'est un rêve la Coupe du monde et casser un rêve comme ça avec une suspension..." >

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Alex Frei mérite-t-il encore d'être titulaire?

Frei a été sorti par Hitzfeld à la 42e face au Chili. [Keystone]
Alex Frei n'a pas fait l'unanimité face au Chili. L'attaquant bâlois est apparu hors de forme et bien emprunté face aux techniciens sud-américains. Eren Derdiyok, relégué sur le banc, avait pourtant brillé contre l'Espagne.

Son refus de s'exprimer mercredi dans la zone mixte du Nelson Mandelay Bay Stadium de Port-Elizabeth a renforcé le sentiment de malaise que son rendement suscite aujourd'hui. Alex Frei, l'homme aux 40 buts en 76 sélections mais qui boude comme un Bleu mal élevé, a-t-il encore sa place dans cette équipe de Suisse?

Poser la question à trois jours du match capital de Bloemfontein contre le Honduras n'est pas incongrue. Accablé par les blessures depuis le début de l'année avec une fracture du bras en février et une entorse à la cheville le jour du départ pour l'Afrique du Sud, le capitaine est loin d'évoluer à son meilleur niveau.

Manque de vitesse

Le Bâlois paie sans doute son manque de compétition. [Keystone]
Après une demi-heure bien transparente en soutien de Nkufo, Frei s'est "sacrifié" en se fixant sur le flanc droit pour remplacer Behrami. Pendant dix minutes, son manque de vitesse face à Vidal notamment a incité à Ottmar Hitzfeld à accélérer l'entrée en jeu de Barnetta.

Le choix du coach national de relancer son capitaine contre le Chili malgré le match remarquable livré par Eren Derdiyok cinq jours plus tôt contre l'Espagne n'a pas été vraiment gagnant. Même si l'expulsion de Behrami a tout faussé, il est indéniable que l'apport de Frei sur le terrain n'a pas répondu aux attentes.

Il est indéniable aussi que le Bâlois paie son manque de compétition. Il n'a plus été titularisé dans son club après cette fracture du bras dont il avait été la victime le 20 février dernier.

Les deux matches amicaux qu'il a livrés avec l'équipe de Suisse avant cette Coupe du monde, contre le Costa Rica 90 minutes de jeu et l'Italie 74 minutes l'ont peut-être aidé à retrouver le bon rythme. Cependant, en se blessant le 9 juin à l'entraînement au Letzigrund, Alex Frei a dû engager une seconde course contre le temps qu'il est loin aujourd'hui d'avoir gagnée.
Chili-Suisse sur tsr2 a attiré 288'000 téléspectateurs

Le match de football entre le Chili et la Suisse a rassemblé en moyenne 288'000 téléspectateurs lundi après-midi sur tsr2. Un pic d'audience a été relevé à la dernière minute de la rencontre, avec 351'000 téléspectateurs, soit une part de marché de 73%. tsrsport.ch a aussi été fortement mis à contribution lors de la rencontre. Un record d'audience a même été enregistré, avec 336'000 visites, contre 301'000 visites lors du dernier match de l'équipe nationale contre l'Espagne

"Les bons arbitres sifflent sur les terrains. Les autres sur la plage !" Ottmar Hitzfeld n'en dira pas plus au terme de la défaite de la Suisse contre le Chili. Suffisamment toutefois pour insinuer que l'arbitrage de M. Khalil Al Ghamdi lui est resté en travers de la gorge.

Ottmar Hitzfeld n'a que très modérément apprécié la performance arbitrale de Khalil Al Ghamdi lors de la défaite de la Suisse contre le Chili. "Je ne me prononcerai pas sur la validité du but. Je dois revoir les images pour juger d'une éventuelle position de hors-jeu de Paredes, explique-t-il. En revanche, l'expulsion de Behrami était totalement infondée. Il ne méritait même pas un carton jaune sur cette action. L'arbitre a été abusé par le "théâtre" de Vidal. L'action s'est produite juste devant notre banc. Je n'ai aucun doute".
"Plus les forces pour porter le danger"

Ce carton rouge brandi à l'encontre de Behrami a provoqué une véritable fureur chez Ottmar Hitzfeld. "Cette expulsion a tout changé, tonne-t-il. A dix, il devenait très compliqué de défendre face à des joueurs aussi vifs que Sanchez et Beausejour. Pour y parvenir, il faut constamment rechercher la supériorité numérique pour bien se dédoubler. Nous ne pouvions plus le faire. Et nous n'avions plus les forces pour porter le danger dans le camp adverse".

A onze contre onze, Ottmar Hitzfeld était prêt à parier sa chemise que la Suisse ne perdrait pas ce match. "Les Chiliens ont poussé au début. Ils attaquaient même à huit, explique-t-il. Mais au fil des minutes, nous avons été capables de poser le jeu. Il y a eu ensuite l'expulsion de Behrami. Je suis convaincu que nous aurions, à onze contre onze, trouvé des ouvertures. Comme nous y étions parvenus contre l'Espagne".

L'ouverture, elle s'est présentée à la 90e minute avec cette occasion en or pour Derdiyok. "Si Eren marque sur cette action, nous obtenons un résultat aussi magnifique que mérité", regrette le sélectionneur. Se procurer une telle occasion à dix à la dernière minute témoigne de la bravoure de mes joueurs. Comme contre l'Espagne, ils ont livré une grande performance".
"Je suis toujours très optimiste"

Ottmar Hitzfeld a, bien sûr, l'esprit déjà tourné vers Bloemfontein où l'équipe de Suisse jouera vendredi face au Honduras sa qualification pour les huitièmes de finale. "Elle est encore à notre portée, indique-t-il. Je suis toujours très optimiste. Les joueurs doivent désormais digérer au plus vite cette défaite. Nous devons également tirer les leçons de ce match. Nous avons accusé trop de déchet dans les passes. Il faut y remédier pour vendredi. La récupération sera également primordiale. Nous avons trois jours devant nous. Je le répète, nous sommes fort capables de battre le Honduras. Les joueurs doivent s'en convaincre. Je vais m'y attacher ces prochaines heures".

Ottmar Hitzfeld avoue que cette défaite 1-0 contre le Chili est un moindre mal. "Avec trois équipes qui peuvent compter 6 points vendredi soir, chaque but compte, lâche-t-il. C'est vrai, nous aurions pu égaliser ce soir. Mais le Chili a bien failli doubler ou même tripler la mise sur ses ruptures en fin de match".

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Il reste un 3ème match à jouer pour les Suisses. Ils affronteront le Honduras...
J'espère que tout se passera bien. Je trouve bien regrettable que lors d'une coupe du monde, il puisse se passer ce genre de chose. Cela ternit l'image du foot et du sport en général

webmasteur Age : 69

Les Suisses

Rolling Eyes

Frei sans doute titulaire contre le Honduras Rolling Eyes

Hitzfeld mise sur l'attaquant de Bâle face aux Honduriens. [Keystone]
Alex Frei était aux abonnés absents mercredi en conférence de presse. Ottmar Hitzfeld a cependant annoncé la présence de son capitaine jeudi face aux journalistes. Celui-ci semble donc assuré d'être titulaire contre le Honduras.

Il s'est sans doute trahi. En annonçant la présence d'Alex Frei jeudi à Bloemfontein lors de la conférence de presse d'avant-match de la FIFA, Ottmar Hitzfeld a lancé un message très clair: Alex Frei sera bien titulaire contre le Honduras.

Ottmar Hitzfeld comprend les raisons qui poussent Alex Frei à garder le silence, au risque de nourrir des rumeurs malsaines. "Alex a dû faire face à sa blessure le jour de notre envol pour l'Afrique du Sud. Ce fut très dur pour lui d'encaisser ce coup du sort, explique Ottmar Hitzfeld. Il a préféré se soigner, s'entraîner plutôt que de parler à la presse. A l'interne en revanche, il a fait face à ses devoirs de capitaine. Il a entretenu un dialogue permanent avec ses coéquipiers et moi-même".

Ottmar Hitzfeld est convaincu qu'Alex Frei a retrouvé l'intégralité de ses moyens. "Si tel n'était pas le cas, je ne l'aurais pas titularisé lundi contre le Chili, précise le coach national. Après l'expulsion de Behrami, il m'est apparu plus logique de "sacrifier" Frei plutôt que Nkufo. Alex manque de compétition et tout devenait encore plus compliqué pour lui au sein d'une équipe en infériorité numérique".
Derdiyok pour Nkufo?

Derdiyok pourrait bien jouer d'entrée vendredi. [Keystone]
L'Allemand n'a, bien sûr, pas livré la composition de son équipe. Il n'a pas voulu abattre ses cartes en décidant le huis clos pour l'entraînement de mercredi. Il pourrait être, croit-on, tenté de relancer Eren Derdiyok.

Héros du match de Durban contre l'Espagne, l'attaquant de Leverkusen prendrait la place de Blaise Nkufo qui, à 35 ans, n'a peut-être pas les jambes pour enchaîner un troisième match en l'espace de neuf jours seulement.

si/tai

Machu, le 23.06.2010 à 16:52
Pourquoi O. Hitzfeld s'obstine t-il à faire jouer A. Frei. Il est terminé Alex, il ne fait plus rien sur le terrain. Il n'aurait même pas dût venir en Afrique du Sud. L'équipe allait très bien contre l'Espagne, par contre contre le Chili, qu'elle leçon de foot elle a reçue. Il faut attaquer et vite si l'on veut gagner. Quelqu'un a dit que l'attaque est la meilleure défense. C'est quand même mieux et plus spectaculaire que de voir un mur de onze joueurs qui ont des semelles de plomb.

Romain, le 23.06.2010 à 17:02

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La Suisse jouera vendredi sa place en huitième de finale du Mondial en Afrique du Sud. Les joueurs d'Ottmar Hitzfeld, qui pourra compter sur Derdiyok, savent ce qu'ils ont à faire. Ils doivent gagner avec deux buts d'écart contre le Honduras.

Le feu est au vert pour la Suisse. Vendredi à Bloemfontein, la formation d'Ottmar Hitzfeld pourrait assurer sa qualification pour les huitièmes de finale de la Coupe du monde. La tâche qui l'attend est loin d'être insurmontable. Une victoire par deux buts d'écart sera synonyme de qualification pour la Suisse quel que soit le résultat de Chili Espagne qui se déroulera simultanément à Pretoria.

Si l'Espagne s'impose par plus d'un but d'écart, une victoire 1-0 suffira à la Suisse. Si l'Espagne devait s'incliner, un simple match nul contre l'équipe qui figure au 38e rang au classement de la FIFA qualifiera également la Suisse.

"Je serai bien sûr informé sur le résultat du match de Pretoria. Il pourrait m'inciter à modifier notre tactique en seconde période, précise Ottmar Hitzfeld. J'ai le sentiment que tout peut se produire entre les Espagnols et les Chiliens".

Mais le sélectionneur croit son équipe capable de passer l'épaule sans un coup de pouce des Chiliens. Battu 1-0 par le Chili et 2-0 par l'Espagne, le Honduras ne jouera que pour l'honneur vendredi soir. Même si sa défense fut la meilleure de la zone CONCACAF lors du tour préliminaire 11 buts encaissés en 16 matches -, les Honduriens donnent l'impression d'une équipe qui pourrait "imploser" à tout moment.
Profiter des égarements adverses

"C'est vrai, les Honduriens ont des moments d'égarement, confirme Ottmar Hitzfeld. Lors de leurs deux premiers matches, j'ai vu qu'ils n'étaient plus vraiment là en défense. A nous d'en profiter!"

La lecture du rapport livré par son espion Martin Trümpler l'a conforté dans ces certitudes. Le Honduras est vraiment prenable. Il y a quatre ans en Allemagne, la Suisse s'était sans doute retrouvée devant une situation plus compliquée avant son troisième et dernier match du premier tour. Elle devait obtenir le nul contre la Corée du Sud pour se qualifier. Battre 2-0 le Honduras semble un résultat plus aisé à obtenir que jouer pour ne pas perdre contre des Coréens qui possédaient d'autres arguments et contre lesquels les Suisses s'étaient finalement imposés 2-0.
Derdiyok apte au service

Par ailleurs, Eren Derdiyok pourra jouer vendredi. Victime d'une contusion mercredi, l'attaquant du Bayer Leverkusen s'est entraîné normalement jeudi à Bloemfontein. Rien ne s'oppose à sa participation à ce match décisif de la Coupe du monde contre le Honduras vendredi.

Derdiyok est en balance avec Blaise Nkufo pour la place de l'attaquant qui épaulera Alex Frei. Le capitaine, qui a parlé pour la première fois à la presse en Afrique du Sud, a avoué qu'il était prêt à 100% et que sa carrière internationale n'est pas finie.

Blessé lors du premier match contre l'Espagne, Philippe Senderos a, pour sa part, suivi une partie de l'entraînement de jeudi. Le staff médical espère qu'il pourra être opérationnel pour un éventuel huitième de finale.

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Absent des rencontres entre les médias et les joueurs ces derniers temps, Alex Frei s'est exprimé devant les journalistes. Le capitaine de la Suisse est sûr que son équipe se hissera en huitièmes de finale au Mondial.

"Il n'y a aucun doute dans mon esprit. Nous allons nous qualifier!" Le capitaine a retrouvé la - bonne - parole. Pour sa première apparition devant la presse depuis le 31 mai, Alex Frei a alterné diplomatie et fermeté pour une mise au point qu'il a jugée nécessaire.
"Je ne suis pas une machine"

"Il y a treize ans que je vis avec les critiques. Je ne suis pas une machine. Certaines m'affectent, avoue-t-il. Il y a un bon côté dans la déferlante que j'ai subie ces derniers jours. Elle a concentré toute la pression sur ma personne. Si l'équipe a pu se préparer au calme, cela veut dire que j'ai bien fait mon boulot de capitaine".

Arrivé en Afrique du Sud à la fois blessé et en manque de compétition, le Bâlois reconnaît que cette Coupe du monde n'est, pour l'instant, pas vraiment la sienne. "Je n'ai joué que 42 minutes. Je comprends parfaitement les raisons de mon remplacement contre le Chili, explique-t-il. Maintenant, je veux préciser une chose: je suis à 100%. Si je ne l'étais pas, je n'aurais pas été titularisé contre le Chili. J'aurais eu l'honnêteté de le dire à l'entraîneur".
"J'ai fait 25 interviews ce printemps"

S'il justifie son mutisme à Port-Elizabeth par la "vive déception ressentie après la défaite contre le Chili", Alex Frei refuse l'étiquette que l'on veut lui coller, celle d'un joueur qui se dérobe devant les médias. "J'ai simplement voulu me soigner et m'entraîner pendant dix jours, explique-t-il. Après le match contre l'Espagne, je ne voulais pas "voler" la vedette à mes coéquipiers qui avaient obtenu cette formidable victoire sur le terrain. Ce printemps, le FC Bâle a reçu près de 70 demandes d'interviews me concernant. J'ai dû en faire 25!".

Rendez-vous ce soir vendredi 25 juin 2010 à 20h30
pour le 3ème match de la Suisse : qui opposera

la Suisse et le Honduras !

voila le tableau de le coupe du monde

huitièmes et quart de final

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Suisse-Honduras 0 - 0

Les Suisses sont rentrés à la maison.
Ils ont été accueillis par 300 fans à Kloten

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La sélection nationale est de retour en Suisse. Après son élimination dès le premier tour de la Coupe du monde, la troupe d'Ottmar Hitzfeld a été accueillie par 300 fans à l'aéroport de Zurich-Kloten. Le voyage s'est déroulé sans encombre.

Trois jours après leur élimination au premier tour de la Coupe du monde, l'équipe de Suisse a retrouvé le sol helvétique. Les protégés d'Ottmar Hitzfeld ont atterri à Zurich-Kloten avec 45 minutes de retard après un vol de 10 heures à bord d'un avion spécial affrété par Swiss, en provenance de Johannesburg, lundi vers 22h.

Ottmar Hitzfeld semble étonné par la chaleur de l'accueil du public suisse. [Keystone]
Après un voyage sans histoire, les internationaux ont été accueillis avec enthousiasme par 300 supporters. Ces derniers leur ont réservé une belle réception malgré l'élimination consécutive au 0-0 face au Honduras vendredi. Benaglio en tête, les Suisses ont fait la joie des chasseurs d'autographes.

Après les vacances - qui seront brèves pour ceux qui jouent dans un club suisse, vu que le championnat reprend le 17 juillet -, l’équipe nationale sera à nouveau réunie dès le 7 septembre pour entamer sa campagne de qualification pour l’Euro 2012. Premier adversaire: l’Angleterre, qui se déplacera à Bâle. L’entraîneur Ottmar Hitzfeld sera alors très vraisemblablement toujours à la tête de l’équipe, son contrat courant jusqu’à fin 2012. Ces derniers temps, des bruits ont pourtant couru sur son éventuel départ (pour l’Allemagne), mais l’intéressé a déclaré vouloir aller au terme de son contrat.

L'aventure se termine ici pour la participation de la Suisse
à cette coupe du monde de foot 2010 ! Ils feront mieux la prochaine fois !!!

Bravo à tous !

demi final
Demi-finales

Match	Date - Heure	Ville		Résultat
61	06/07 20:30	Le Cap	Uruguay	Avant-match	Pays-Bas
62	07/07 20:30	Durban	Allemagne	Avant-match	Espagne

la final de la coupe du monde 2010 opposera l Espagne contre les Pays-bas le 11/07 à 20:30 au stade Johannesbourg

l équipe de l Espagne
football ESP

parcours et classement

l'équipe des pays bas
football NED

le parcours et classement

dernier info sur la final de la coupe du monde
Les dernier info sur la final Espagne -Pays-Bas

200 000 fans à Madrid ?

Des dizaines de milliers
de supporters vêtus du maillot sang et or de la "Roja" se dirigeaient en
fin d'après-midi vers le centre de Madrid, où plusieurs écrans ont été
installés pour retransmettre la finale Espagne - Pays-Bas du Mondial
2010.Les organisateurs attendaient plus de 200.000
spectateurs devant ces écrans géants placés notamment sur les places de
Colon et Cibeles et sur l'avenue de Recoletos en plein cœur de la
capitale. Parmi ces spectateurs, qui se rassemblaient par une forte
chaleur, de nombreux jeunes brandissant le drapeau espagnol ou des
répliques de la Coupe du monde que l'Espagne espère bien conquérir pour
la première fois de son histoire.
100
000 fans à Amsterdam

Quelque
100.000 personnes étaient rassemblées dimanche en fin d'après-midi à
Amsterdam pour assister à la retransmission sur écran géant de la finale
Pays-Bas - Espagne du Mondial 2010 sur un terre-plein bondé."Nous
demandons aux gens de ne plus se diriger vers le Museumplein ou
Amsterdam, pour des raisons de sécurité mais aussi parce qu'ils ne
pourront rien voir du match", a déclaré un porte-parole de la mairie,
Bas Bruijn. Le Museumplein, un terre-plein recouvert de pelouse situé
devant le Rijksmuseum, qui peut accueillir 100.000 personnes, "a atteint
sa capacité maximale", a précisé vers 16h00 le porte-parole, selon
lequel "d'autres gens sont sur les routes et dans les trains".

Source:Eurosport

voila quelque lien ou vous pouvait voir la final de la coupe du monde gratuit

http://vinubuzz.com/pays-bas-espagne-flux-final-en-direct-fifa-2010-espagne-pays-bas-montre-en-direct/
bon c est en espagnol dsl